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Petronella Chaminuka est l'économiste principale du Conseil de la recherche agricole en Afrique du Sud. Elle dirige une équipe chargée d'intégrer l'analyse socio-économique et le genre dans les programmes de R&D et de réaliser des évaluations d'impact pour guider les décisions d'investissement. Petronella est titulaire d'un doctorat en économie environnementale de l'université de Wageningen, aux Pays-Bas, et d'un master en économie agricole de l'université du Zimbabwe. Elle a plus de 20 ans d'expérience internationale en tant qu'enseignante, chercheuse et facilitatrice dans les processus de développement rural. Petronella a une grande expérience du travail en équipes multidisciplinaires et a participé à de nombreux projets de collaboration internationale axés sur le développement des capacités et la recherche. Elle a fait partie d'un projet intitulé "Novel livestock vaccines for viral diseases in Africa towards improved food security" dans le cadre du Fonds canadien de recherche sur la sécurité alimentaire internationale et a participé à l'élaboration d'une stratégie de mise à l'échelle du projet. Elle a publié des articles dans des revues à comité de lecture, des chapitres de livres et de nombreux articles courts.

Blanca Llorente est économiste (Universidad Javeriana), spécialiste de l'évaluation sociale (Universidad de los Andes) et titulaire d'un Master en santé publique (LSHTM, Université de Londres). Elle possède une expérience des politiques environnementales et de santé publique, ainsi que des pratiques de gestion sociale et des droits de l'homme dans le secteur privé. Près de 30 ans d'enseignement dans plusieurs universités colombiennes. Ancienne vice-doyenne et directrice de recherche à l'école d'économie de l'université Sergio Arboleda. Elle est actuellement directrice de recherche à la Fundación Anáas, un groupe de réflexion colombien sur la santé publique, et chercheuse au CREER-IHRB, un centre qui encourage une approche multipartite pour renforcer les efforts des gouvernements et des entreprises en matière de protection, de promotion et de respect des droits de l'homme. Son travail dans le domaine de la lutte antitabac a débuté en 2008. Elle collabore fréquemment avec le ministère de la santé, des chercheurs et d'autres ONG et se concentre sur les stratégies de mise en pratique de la recherche.

Tatiana Rincón est présidente du département "Genre, protection sociale et moyens de subsistance" de la Fundación Capital. Elle a plus de 20 ans d'expérience dans les domaines de la protection sociale, des politiques de réduction de la pauvreté (programme de fin d'études) et du genre. Elle est titulaire d'une maîtrise en relations internationales de l'université Carleton au Canada et d'un diplôme en finances et relations internationales de l'université Externado en Colombie. Elle termine actuellement un master en genre et politique publique à la FLACSO (Facultad Latinoamericana de Ciencias Sociales). Avant de rejoindre la Fundación Capital, elle a travaillé pour le Centre Carter et comme consultante pour le Fonds international de développement agricole (FIDA). Elle était auparavant coordinatrice du projet national sur le développement économique et le commerce pour la délégation auprès de l'Union européenne et le ministère du commerce en Colombie, et a également été directrice de la coopération internationale pour le ministère de la justice et de l'intérieur de la Colombie. Mme Rincón a travaillé en tant que professeur et directrice de programme de troisième cycle à l'Universidad Externado en Colombie.

Abu Syed (http://www.abusyed.org) est directeur général de C4RE Services et Senior Fellow au BCAS depuis 2008 et directeur fondateur de NABIC, Bangladesh depuis novembre 2011. Il est titulaire d'un doctorat en modélisation climatique et géospatiale. Il a obtenu son MSc en science de la géoinformation et observation de la Terre et un diplôme d'études supérieures en ingénierie géomatique pour la gestion intégrée des zones côtières. Le Dr Syed possède une expertise en matière d'évaluation et de surveillance de l'environnement, de ressources naturelles, d'objectifs de développement durable, d'accords et de politiques régionales. Il a beaucoup travaillé sur l'application de la télédétection, des SIG et de la géoinformatique dans les domaines de l'agriculture, des ressources en eau et des forêts, de l'environnement côtier, des impacts du changement climatique, des investissements, de la planification de la conservation et de l'adaptation, et de l'analyse des politiques. Il a supervisé 8 docteurs et 22 chercheurs en environnement, changement climatique, adaptation, modélisation climatique, alerte précoce et réduction des risques de catastrophes dans différentes universités. Il a travaillé et contribué à de nombreux documents de politique nationale et régionale et à des changements effectifs dans les politiques nationales dans les secteurs de l'eau, des forêts et de la pêche au Qatar et au Bangladesh. Il a publié de nombreux articles dans des revues à comité de lecture et des chapitres de livres.

Odunayo Clement Adebooye, professeur d'agronomie, est titulaire d'un doctorat (agronomie) de l'Université d'Ibadan, Ibadan-Nigeria. Il est lauréat de 19 bourses de recherche internationales compétitives, d'environ 50 bourses de voyage et de 4 bourses locales, toutes évaluées à environ 15 millions de dollars US. Il a publié environ 90 articles de recherche dans des revues à fort impact. Il est actuellement l'ambassadeur scientifique de la Fondation Humboldt du gouvernement allemand au Nigeria. Il est également secrétaire général du Réseau germano-africain d'excellence en sciences (AGNES), une agence de financement du gouvernement allemand. Il est membre de l'Université des Nations unies, du DAAD allemand et de la Fondation Alexander von Humboldt du gouvernement allemand. Il a occupé avec succès le poste de gestionnaire régional de projets du CRDI en Afrique de l'Ouest.

Ali Ben Charif est un chercheur postdoctoral en application des connaissances dans la recherche orientée vers le patient à l'Université Laval. Originaire des Comores, Ali a étudié au Sénégal et en France avant de s'installer au Canada. Sa recherche porte sur la recherche à échelle orientée vers le patient dans le domaine des soins primaires. Il s'est jeté dans ce nouveau domaine et l'a déjà suffisamment maîtrisé pour être reconnu internationalement comme un expert. Il a publié la première synthèse des connaissances sur les stratégies de mise à l'échelle dans les soins primaires, a élaboré le questionnaire auto-administré sur la mise à l'échelle des innovations (ISSaQ) et a dirigé les évaluations de la mise à l'échelle de 57 innovations canadiennes en matière de soins primaires. Il participe à plusieurs comités consultatifs internationaux et a aidé les réseaux canadiens de soins primaires à discuter avec leurs décideurs et leurs partenaires patients de l'évaluation de l'évolutivité de leurs innovations. L'expertise d'Ali est cruciale car elle permet de s'assurer qu'il existe une adéquation entre les valeurs, les préférences et les perspectives des bénéficiaires visés et les innovations à mettre à l'échelle.

Oumoul Khaïry Coulibaly est docteur en socio-anthropologie et enseignant-chercheur à l'Ecole Supérieure d'Economie Appliquée de l'Université Cheikh Anta Diop de Dakar. Spécialiste des questions de genre, le travail du Dr Coulibaly aborde les questions de l'autonomisation des femmes, de la gouvernance foncière, de la migration, de l'impact du changement climatique sur le genre, de la violence basée sur le genre et de la participation politique des femmes. Elle est également spécialiste en gestion de projets de développement et coordonne depuis 2015 deux projets de recherche-action financés par le CRDI en collaboration avec l'ONG ANID (Réseau africain pour le développement intégré) et le Think Tank IPAR (Initiative Prospectiive Agricole Rurale).

Berhane Gebru est un chercheur et un praticien dans le domaine de l'adaptation au changement climatique et des TICpD, qui se concentre sur les systèmes de données, la santé numérique, la culture numérique, l'inclusion numérique et l'analyse des réseaux sociaux. Au cours des 16 dernières années, il a dirigé avec succès de multiples projets dans 40 pays impliquant des solutions numériques pour améliorer les actions d'adaptation au changement climatique, renforcer les systèmes de santé et d'éducation et développer la capacité entrepreneuriale des petites entreprises. Tout au long de sa carrière, il a dirigé des projets primés, notamment le projet Adaptation au changement climatique et TIC qui a reçu le prix Momentum for Change de la CCNUCC (2015) et le système d'information sur la santé mobile qui a reçu le prix 2015 du Sommet mondial sur la société de l'information.

Le Dr Amédé Gogovor est chercheur postdoctoral des Instituts de recherche en santé du Canada à l'Université Laval. Il dirige l'élaboration d'une ligne directrice sur les rapports d'études d'échelonnement. Le projet, qui intègre les principes de la recherche axée sur le patient et les considérations de sexe et de genre, est supervisé par un comité exécutif international. Depuis 2007, le Dr Gogovor participe à la conception, à la mise en œuvre et à la diffusion des résultats des enquêtes en série sur les soins de santé au Canada menées auprès du public canadien et des professionnels de la santé. Ses intérêts de recherche et son expertise comprennent la gestion des maladies chroniques, l'analyse du sexe, du genre et de l'intersectionnalité pour améliorer les résultats et l'équité en matière de santé, et la métarecherche. D'abord formé en médecine vétérinaire (Université C.A.D de Dakar), le Dr Gogovor est titulaire d'une maîtrise en sciences pharmaceutiques de l'Université de Montréal et d'un doctorat en médecine expérimentale de l'Université McGill.

Rachid Hakkou a obtenu un doctorat en géosciences et matières premières à l'Institut National Polytechnique de Lorraine, Nancy, France en 1993 et un doctorat marocain en 2001 en gestion et traitement des déchets solides. Il est professeur titulaire à l'université Cadi-Ayyad (Maroc). De 2009 à 2017, il a été titulaire de la chaire de recherche du CRDI sur " la gestion et la stabilisation des déchets miniers et industriels ". Il est membre du comité international de la revue Mine Water and the Environment (Springer). Ses recherches portent sur la gestion et la valorisation des déchets miniers. Il compte plus de 55 publications évaluées par des pairs (h-index = 15). Selon le Scopus d'Elsevier (1966-2019), il est classé comme le deuxième auteur publiant dans le domaine des déchets miniers de phosphate. En 2016, il a reçu le prix Hassan II pour l'environnement dans la catégorie de la recherche scientifique, délivré par le ministère marocain de l'Environnement.

Ursula Harman est une sociologue titulaire d'un doctorat en innovation inclusive de l'Université de Queensland, en Australie, et d'une maîtrise en gestion et politique de l'innovation et de la technologie de l'Université catholique pontificale du Pérou (PUCP). Elle possède une vaste expérience de la facilitation des processus de recherche, de développement technologique et d'innovation, en mettant l'accent sur le développement communautaire. Actuellement, Ursula est maître de conférences et chercheuse aux universités PUCP et UTEC, consultante senior internationale et chercheuse dans le domaine des études scientifiques et technologiques, de la résilience et du développement communautaire. Elle est membre du comité pro-femme 2021 de CONCYTEC sur la science, la technologie et l'innovation, conseillère du district de San Bartolo pour la période 2019-2022, et boursière Eisenhower 2019.

Ermel Johnson est originaire du Bénin, en Afrique de l'Ouest. Il est docteur en médecine, titulaire d'un master en recherche sur la population et la santé ; et a exercé en tant que praticien au Burkina Faso. Le Dr Johnson a six ans d'expérience dans les organisations internationales au cours desquels il a travaillé dans l'ONG humanitaire Médecins du Monde France et depuis 2015 à l'Organisation Ouest Africaine de la Santé (OOAS) en tant que professionnel en charge de la mise en œuvre du programme IMCHA en Afrique de l'Ouest. Son intérêt pour la mise en œuvre comme clé de la réussite des programmes et du renforcement des systèmes de santé ; il embrasse le domaine de la science de la mise en œuvre. C'est pourquoi il prépare un doctorat en politique de santé et systèmes de santé à l'Institut africain de politique de santé et systèmes de santé au Nigeria. Le Dr Johnson est membre de plusieurs réseaux et associations professionnelles, dont Health System Global, African Evidence Network, et West African Network of Emerging Leaders in Health Policy & System (WANEL).

Lynette est une professionnelle polyvalente et expérimentée dans le domaine du plaidoyer, de l'engagement politique, des communications et de la gestion de programmes, avec plus de 10 ans d'expérience. Elle articule stratégiquement les questions politiques, développe et synthétise les informations pour le développement aux niveaux national, régional et mondial. Son travail dans les secteurs du développement et de l'humanitaire lui a permis de faciliter la mise en place de solutions durables fondées sur des données probantes. Elle a dirigé et mis en œuvre des projets dans plus de 15 pays d'Afrique subsaharienne. Elle s'intéresse vivement à la politique de santé mondiale et à l'équité en matière de santé. Lynette est convaincue que l'investissement dans la recherche et l'utilisation de données probantes dans la prise de décision facilitent l'élaboration de solutions adaptées au contexte et permettent de découvrir de nouvelles frontières. Elle travaille avec le Centre africain de recherche sur la population et la santé (APHRC), où elle dirige un projet visant à définir la portée de la médecine personnalisée en Afrique. Le projet est mis en œuvre par un consortium de 13 partenaires, dont six d'Europe et sept d'Afrique. Il vise à encourager les projets et programmes conjoints de médecine personnalisée entre l'Europe et l'Afrique et à renforcer les relations bilatérales UE-UA en matière de science, de technologie et d'innovation (STI) dans le domaine de la santé. Lynette coordonne également l'Eastern Africa Health Policy and Research Organization, un consortium de trois organisations, APHRC ; East, Central, Southern Africa - Health Community ; et Partners in Population and Development - Africa Region, dans le cadre de l'initiative Innovating for Maternal and Child Health in Africa. Lynette est titulaire d'une maîtrise en études internationales et d'une licence en communication pour le développement, toutes deux de l'université de Nairobi. Lynette Tweete @Lynnmukuhi.

Teresa Mosquera-Vásquez est originaire de Colombie. Elle a fait des études de premier cycle en biologie et des études supérieures en génétique et en sélection végétale. Elle a obtenu son doctorat en sciences agricoles à l'Universidad Nacional de Colombia en collaboration avec l'Institut Max Planck en Allemagne. Elle est actuellement professeur titulaire à la Faculté des sciences agricoles de l'Universidad Nacional de Colombia, où elle dirige des projets de transposition à grande échelle d'innovations technologiques et sociales visant à améliorer l'état nutritionnel des Colombiens. Ses stratégies de recherche mettent l'accent sur la recherche participative et l'adoption par les agriculteurs et les consommateurs de nouveaux cultivars nutritifs, dans le but de promouvoir une agriculture sensible à la nutrition et le développement de nouvelles technologies. À cette fin, elle se concentre sur l'éducation et la sécurité alimentaire ayant un fort impact sur les politiques publiques.

Tobias Schonwetter est le directeur de l'unité "Propriété intellectuelle" (www.ip-unit.org) et professeur associé à la faculté de droit de l'université du Cap. Il est chercheur principal pour divers projets de recherche et de renforcement des capacités liés à la propriété intellectuelle, notamment Open AIR (www.openair.africa). Auparavant, Tobias était directeur principal - droit de la technologie et de l'innovation - chez PwC Afrique du Sud, ainsi que coordinateur régional pour l'Afrique et responsable juridique pour l'Afrique du Sud pour Creative Commons. Il a également été rédacteur pour l'African Journal of Information and Communication's (AJIC), Thematic Issues on Knowledge Governance, et a été stagiaire postdoctoral à l'unité de propriété intellectuelle de l'université du Cap. En 2018-19, Tobias a été doyen adjoint par intérim pour l'internationalisation et le rayonnement de la faculté de droit de l'université du Cap. Tobias se spécialise et enseigne la propriété intellectuelle et le cyberdroit, en particulier la relation entre la propriété intellectuelle, l'innovation et le développement. Tobias a étudié et pratiqué le droit en Allemagne et est titulaire d'un doctorat et d'un LL.M. de l'université du Cap. En 2018, Tobias est devenu membre associé du Centre de droit, de technologie et de société de l'Université d'Ottawa, au Canada ; et en 2019, il a rejoint le conseil consultatif sur la science ouverte du ministère des Sciences et de l'Innovation. Tobias a écrit de nombreux articles sur le droit de la propriété intellectuelle et est intervenu lors de diverses conférences nationales et internationales.

Patterson Siema est le directeur de l'engagement politique et des communications au Centre africain pour la population et la santé. Il a plus de 18 ans d'expérience dans le domaine de l'engagement politique, des communications et du plaidoyer. Sous la direction de Siema, l'APHRC développe des approches innovantes pour les activités traditionnelles, maximisant l'impact et élargissant les réseaux d'alliés et de collaborateurs potentiels. Il dirige également la chaîne de valeur de l'application des connaissances qui traduit les données probantes de l'APHRC en politiques, et oriente les stratégies de visibilité, d'image de marque et de sensibilisation du Centre. Avant de rejoindre l'APHRC, il était le spécialiste de la communication et du plaidoyer pour l'Afrique orientale et australe au sein de l'entité des Nations Unies chargée des questions de genre, ONU Femmes. Il a également occupé pendant huit ans le poste de responsable des communications du Programme des Nations unies pour le développement au Kenya. Il est titulaire d'une maîtrise en administration des affaires de l'université d'agriculture et de technologie Jomo Kenyatta et d'un diplôme en communication stratégique de l'université Daystar.

Issiaka Sombié est un chercheur senior avec plus de 25 ans d'expérience dans la recherche en santé en Afrique de l'Ouest. Il est docteur en médecine de l'Université de Ouagadougou, au Burkina Faso, et a obtenu un doctorat en santé publique de l'Université libre de Bruxelles (Belgique). Il est professeur titulaire d'épidémiologie à la faculté de médecine de l'université de Nazi Boni à Bobo-Dioulasso, au Burkina Faso. Ses domaines d'intérêt sont la santé maternelle et infantile, les essais cliniques et la recherche sur les politiques et systèmes de santé, le développement des systèmes de recherche et l'éthique de la recherche. Il est membre de plusieurs réseaux de recherche au niveau régional et mondial. Il a travaillé plus de quinze ans au Centre MURAZ avant de rejoindre l'Organisation Ouest Africaine de la Santé (OOAS) en 2008, où il a dirigé le programme de recherche régional, qui visait le développement des systèmes de recherche dans la région de la CEDEAO. Actuellement, il occupe le poste de Directeur par intérim de la Direction du Département de la Santé Publique et de la Recherche. Le Professeur Sombié est l'auteur de plus d'une centaine d'articles scientifiques dans des revues internationales.

Ivonne Villada est titulaire d'un master en développement rural de l'université Javeriana de Bogota, en Colombie, et en gestion de l'environnement de l'université technologique de Pereira. Elle a plus de 12 ans d'expérience dans la conception, la mise en œuvre, l'évaluation et l'amélioration des politiques publiques et des initiatives privées visant à vaincre la pauvreté et l'inclusion financière avec une approche différentielle. Elle a travaillé avec des entités publiques telles que le département de la prospérité sociale en Colombie et des institutions de recherche au Chili et au Pérou avec l'Institut d'études péruviennes. Ces dernières années, Ivonne a été directrice du "Proyecto Capital", une initiative régionale pour l'Amérique latine et les Caraïbes soutenue par la Fondation Ford et le CRDI, qui établit un lien entre la protection sociale et l'inclusion financière dans le cadre de l'ensemble des droits dont les personnes ont besoin pour surmonter la pauvreté et transformer leur vie.